Que pensez-vous des parents qui élèvent des enfants quand ils n’ont pas les moyens financiers de le faire ?

Pour rester sur le strict plan économique, je pense que c'est une excellente initiative ! Je n'en pense donc que du bien.

Notre société a besoin de soutiers pour faire tourner l'économie à moindre coût et permettre également aux gens aisés de profiter d'une domesticité à la tâche. La pandémie de Covid-19, les différents confinements l'ont ainsi démontré : qui a fait tourner la machine économique quand plus personne ne pouvait prendre l'avion ? Les pauvres ! Qui est resté « sur le terrain », « en première ligne » ? Des éboueurs, des caissiers, des livreurs... Du personnel soignant aussi, bien sûr, qui portaient des sacs poubelles en guise de sur-blouse de protection.

En fait, que des pauvres gens (« des gens qui ne sont rien ») qui sont regardés de haut en d'autres circonstances (quand ils sont regardés).

Or, on trouve très (mais alors très) rarement de cadres, de petits bourgeois, de trentenaires barbus à start-up parmi les pauvres. Mais les premiers ont besoin des derniers pour leur quotidien.

Qui pour fournir la piétaille ? Mais des parents pauvres, bien sûr ! Les « inégalités sociales » se reproduisent de génération en génération. Il est nécessaire que des pauvres « produisent » des pauvres. C'est un apport indéniable, indispensable à la mécanique économique (j'aimerais même écrire mécanique économique capitaliste, mais cela risque de faire trop connoté gauchiste. Cela disqualifierait mon propos).

Outre leur utilité économique, les pauvres jouent également (sans le savoir) un éminent rôle de cohésion sociale : au même titre que, par exemple, les « immigrés clandestins », ils cimentent l’esprit de classe des mesquins, des parvenus, des parents riches de la société.

Quelles sont les 10 meilleures raisons pour lesquelles quelqu'un devrait sortir avec vous ?

1. Je suis déjà marié.

2. Je ne sais pas du tout cuisiner.

3. Et encore moins faire l'amour.

4. Alors le ménage... N'en parlons pas !

5. J'ai des oursins dans les poches.

6. Mon IMC est un sous-multiple conséquent de mon QI.

7. A défaut d'avoir toujours raison, j'ai souvent rarement tort.

8. J'ai horreur de percer les murs pour poser des étagères.

9. Je préfère partir seul en vacances.

10. Je me fous totalement des anniversaires et autres célébrations.

Bang Bang !

(je dois trop regarder les séries américaines)

J'étais devant mon ancien patron, un pistolet à la main et un rictus aux lèvres : je lui mis une balle dans chaque genou. Il ricana, il ne s'en servait plus de ses genoux, depuis ses 22 ans, depuis qu'un accident de voiture, lui avait fait perdre l'usage de ses jambes.

« - Mais je n'en ai pas fini avec toi, connard. » lui dis-je.

Je lui mis une balle dans chaque épaule.

« - Allez ! Vas-y ! Pousse-le maintenant ton fauteuil roulant ! »